Mes tarifs
Séance en sexologie
Présentiel
Solo / Couple :
80 €
Visio
Solo / Couple :
60 €
Formations
Formations sur mesure pour accompagnants, particuliers et managers
Je propose trois formations complémentaires, pensées pour différents profils :
– l’autohypnose, ouverte à tous ;
– la sexologie, destinée aux professionnels de l’accompagnement ;
– le management humaniste, conçu pour les entreprises et les managers.
Trois approches pour développer autonomie, conscience et impact.
Je vous invite à découvrir le détail de chaque parcours.
FAQ – Des réponses claires à vos doutes
Vous hésitez, vous vous demandez si c’est le bon moment ?
Toutes les questions sont légitimes. Voici des réponses qui vous aideront peut-être à y voir plus clair.
Pourquoi consulter un sexologue si je suis en bonne santé physique ?
Parce que la sexualité ne se limite pas à la biologie. On peut se sentir bien dans son corps et pourtant vivre des tensions, une perte de désir, ou des blocages difficiles à expliquer. Parfois, tout semble « aller bien », mais au fond, quelque chose coince. La sexologie permet de mettre des mots sur ces ressentis, d’explorer en douceur ce qui se passe à l’intérieur, et d’aller vers une vie intime plus libre, plus vivante.
Est-ce que je peux venir consulter même si je ne suis pas en couple ?
Absolument. Vous n’avez pas besoin d’être en couple pour avoir envie de mieux comprendre votre sexualité. Ce chemin est avant tout personnel. Vous pouvez venir pour parler de vous. De vos désirs, de vos blocages, de ce que vous traversez. L’accompagnement est là pour vous reconnecter à votre propre vécu, à votre corps, à votre histoire.
Est-ce que je dois parler de choses très intimes dès la première séance ?
Non. Vous êtes libre de garder pour vous ce que vous ne voulez pas dire tout de suite — ou même pas du tout. La première séance, c’est avant tout un espace d’accueil. J’apprends à vous connaître, je vous écoute. Rien n’est forcé. C’est vous qui décidez ce que vous souhaitez partager, et à quel moment.
Comment savoir si mon problème est « légitime » pour consulter ?
Si quelque chose vous dérange ou vous fait souffrir, alors c’est légitime. Il n’y a pas de hiérarchie dans les difficultés. Ce que vous ressentez mérite d’être pris en compte, même si d’autres autour de vous ne le comprennent pas. Vous avez le droit d’être entendu(e), soutenu(e), accompagné(e). Ce n’est jamais « trop peu » pour en parler.
Est-ce que la sexologie concerne aussi les adolescents ou les jeunes adultes ?
Oui, évidemment. C’est souvent à ces âges-là que les premières questions surgissent. Parfois avec des inquiétudes, parfois avec de la curiosité. L’objectif, c’est d’ouvrir un dialogue sain, sans pression ni honte. Pour mieux comprendre ce que l’on ressent, ce qu’on vit, ce qu’on n’ose pas forcément dire ailleurs.
L’hypnose me fait un peu peur. Est-ce que je peux refuser ?
Bien sûr. Rien n’est imposé. L’hypnose est un outil que je propose uniquement si cela peut vous aider. Et seulement si vous vous sentez à l’aise. Il ne s’agit pas de « perdre le contrôle » mais de vous reconnecter à vous-même, dans un état de conscience modifié mais parfaitement maîtrisé. Et si ce n’est pas pour vous, on fait sans, tout simplement.
Est-ce que la visio est aussi efficace qu’une séance en cabinet ?
Oui, la visio fonctionne très bien. Beaucoup de personnes trouvent même que c’est plus confortable de parler depuis chez soi. L’essentiel, c’est la qualité du lien, pas le lieu. Ce qui compte, c’est que vous vous sentiez en sécurité pour vous exprimer librement.
Comment se déroule un accompagnement en sexologie avec Pascal Desbouche ?
Chaque accompagnement commence par une rencontre vraie, un moment où vous pouvez déposer ce que vous ressentez sans crainte d’être jugé·e. On prend le temps de cerner vos besoins, vos questionnements, puis on définit ensemble un objectif. Au fil des séances, c’est vous qui guidez le rythme. L’hypnose peut être proposée comme un soutien, mais jamais imposée. Ce qui compte, c’est que vous vous sentiez entendu·e et respecté·e.
Je ne sais pas par où commencer ni comment formuler ce que je ressens. Est-ce un problème ?
Pas du tout. Beaucoup de gens arrivent sans savoir « bien dire » ce qui ne va pas. Et c’est parfaitement compréhensible. On peut commencer par un ressenti flou, un mal-être diffus, une émotion qu’on ne comprend pas. L’essentiel, c’est d’avoir eu le courage de faire le premier pas. Ensuite, on construit ensemble, petit à petit. Il n’y a pas de bonne façon de parler de soi, juste la vôtre.
Quelle est la différence entre un sexologue et un thérapeute de couple ?
Un sexologue s’intéresse à ce que vous vivez dans votre intimité personnelle : désir, plaisir, douleurs, questionnements… Le thérapeute de couple, lui, travaille surtout sur la relation entre deux personnes : comment on communique, comment on se blesse, comment on peut se retrouver. Dans mon approche, je combine les deux, car bien souvent, l’intime et le relationnel sont profondément liés.
J’ai peur de me sentir mal à l’aise ou d’être jugé·e. Comment cela se passe-t-il ?
C’est une peur que je respecte profondément. Vous n’avez pas à être parfait·e ici. Mon rôle est de créer un espace sans pression, où vous pouvez être exactement comme vous êtes. Si certaines choses sont trop difficiles à dire, on les aborde plus tard. Ou jamais. Tout est possible. Ce qui compte, c’est que vous soyez accueilli·e avec respect et humanité.
Est-ce qu’on peut parler de pratiques sexuelles ou de fantasmes sans tabou ?
Oui, c’est même essentiel. On vit dans une société où certaines envies ou pratiques sont vite stigmatisées, alors qu’elles font simplement partie de la richesse de l’intimité humaine. Ici, vous pouvez tout dire. Il n’y a pas de sujet interdit. Ce que vous ressentez mérite d’être accueilli, compris, exploré avec respect.
Combien de séances faut-il prévoir ?
Cela dépend de vous. De ce que vous venez chercher et de la façon dont vous avancez. Certaines personnes trouvent un soulagement rapide. D’autres ont besoin de plus de temps pour apprivoiser ce qui se joue en elles. On en parle ensemble. Il n’y a aucune obligation, aucun engagement figé. C’est un accompagnement souple, adapté à votre rythme.
Que faire si mon ou ma partenaire ne veut pas consulter ?
C’est une situation courante. On ne peut pas forcer l’autre à entamer une démarche, mais vous, vous pouvez commencer. Parfois, un travail personnel suffit à transformer la relation. Et puis, en vous sentant plus clair·e dans ce que vous vivez, vous pouvez aussi mieux dialoguer. Qui sait, cela peut ouvrir une nouvelle porte dans le couple.